Tais toi malheureuse! Tu ne sais pas ce que tu dis.L’expérience te manque.Que me parles tu de remords? Peuvent-ils exister dans l’âme qui ne reconnaît de crime à rien? Je suis capable de toutes les débauches de l’esprit et je n’ai pas de coeur. Ce coeur n’existe pas. Ce n’est qu’un nom donné aux faiblesses de l’esprit. Tu vois, en te confessant à moi, tu ne crains donc pas mon courroux et tu te sentiras soulagée. Je t’écoute. Parle! Raconte moi les pires horreurs dont tu t’es rendue coupable.