Antonio José Bolivar ôta son dentier,le rangea dans son mouchoir et sans cesser de maudire le gringo ,responsable de la tragédie, le maire,les chercheurs d'or ,tous ceux qui souillaient la virginité de son Amazonie, il coupa une grosse branche d'un coup de machette,s'y appuya et prit la direction d'El Idilio, de sa cabane et de ses romans qui parlaient d'amour avec des mots si beaux que, parfois ,il lui faisaient oublié la barbarie des hommes.(Page134).
Artatore Yougoslavie 1987.
Hambourg, Allemagne 1988.