On aime tant à entendre parler de soi et de ses sentiments que, quoique ce soit en mal, nous en sommes charmés. J'ai même pardonné "l'enflure du coeur" en faveur du reste, et je maintiens qu'il n'y a point d'autre mot pour expliquer la vanité et l'orgueil, qui sont proprement du vent ; cherchez un autre mot.