Violette s'allonge. L'odeur du chèvrefeuille qui s'infiltre par la fenêtre ouverte l'enivre. Il fait bon. Coulée dans la fragrance des fleurs et le temps doux de septembre, elle se croirait presque revenue chez elle, lorsqu'elle contemplait le coucher du soleil et pensait s'envoler à jamais. (Début page 19)