Pendant des années, du temps où elle vivait en Sicile, Nora O'Donoghue n'avait reçu aucun courrier du pays.Pleine d'espoir, elle épiait "il postino" qui remontait la petite rue sous le ciel d'un bleu éclatant. Mais il n'y avait jamais de lettre d'Irlande, bien qu'elle écrivit chaque premier du mois pour donner de ses nouvelles.