Depuis lors, chaque jour, pendant de longues heures, et parfois même plusieurs fois par jour, l’homme sillonne la plage de l’estacade au môle et du môle à l’estacade. Il n’a rien d’autre à faire. En marchant auprès de sa chienne, il use tout son chagrin, centimètre par centimètre, sur le sable abrasif de cette plage.
L'ABSENTE.