A cette époque, les peintres ne disposant pas des moyens de s'acheter un support neuf se procuraient souvent des toiles usagées que leur revendaient les antiquaires pour une bouchée de pain. Il ne leur restait plus qu'à les recouvrir d'une couche d'apprêt avant d'y peindre leurs propres oeuvres sur la surface de nouveau vierge. (p. 136)