(…) « faire face » aux « assauts du populisme »
(…) un étonnant mélange combinant une politique économique digne de l’Union soviétique, une politique budgétaire laxiste, une politique internationale qui nous conduirait à rompre avec l’ensemble de nos alliés, sans oublier une bonne dose de xénophobie.
(…) Un esprit de capitulation, qui ne croit plus en la capacité de la France à se redresser.
(…) cette formation politique joue le rôle de l’imprécateur : celui qui dénonce et accuse, sans apporter la moindre réponse aux questions qu’il pose, ni aux maux qu’il dénonce