Oh vous qui fîtes mes yeux de la glauque vêture des étangs, qui fîtes toutes choses, et le faible et le fort, le tendre et le cruel, le juste et l’injuste, prenez en pitié ses chétives impulsions de luxure et voyez combien peu de beauté est enclose en sa vie qui bientôt sera dissoute dans le vert ressac de là contre-marée...