Elle aperçut à sa droite un bassin rempli d’eau, le choyuza5, mais détourna rapidement le regard, peu désireuse de se purifier avant d’accéder au sanctuaire. Puisque le shintoïsme laissait entendre que les choses souillées venaient de l’extérieur, ce n’était pas en mouillant ses mains et sa bouche qu’elle allait laver la noirceur d’une âme pourrie de l’intérieur.