Le bon Docteur Schneider était un fervent défenseur de l’art-thérapie. Il nous cassait les pieds chaque semaine, à heure fixe, à nous faire « prendre contact avec notre vie intérieure de manière non verbale pour en faire jaillir des images analysables. » Je dois avouer qu’à nous voir nous affairer comme des gamins de maternelle autour d’une boîte de feutres, il m’était difficile de ne pas rire !