« Et pourquoi moi à Saragosse, et vous à Damas ? »
Biscuter avait pris de l’assurance depuis que, pendant l’été 1992 – à l’époque où Carvalho était sur l’affaire du “sabotage olympique” –, il avait suivi un cours sur les soupes dans une école de haute cuisine à Paris. L’âge indéfini reflété sur ses traits d’avorton lui permettait de transmettre à Carvalho son mécontentement d’être un assistant subalterne aussi malin que sous-employé.