Mes rêves s’humilient trop
19.
Je voudrais un jour court, très court
qui suffirait pour écrire un poème
que j’écrirais comme j’en aurais envie
sans hâte, sans retouche ni brouillon.
// Saadiah Mufareh Koweït (1967 -)
/Traduit de l’arabe par Maram al-Masri