Après le décès brutal d'Alassane Diop, je ne fis plus rien dans la vie qui ne m'engage entièrement, rien qui puisse mettre à mal mon honneur. Je m'employai, corps et âme, à faire parler dans le journal des luttes des peuples dans les anciennes colonies françaises (...)
Nous étions de toutes les nationalités, de toutes les couleurs ou plutôt nous n'avions pas de couleur sinon celle de l'Homme, l'humain, porteur de fraternités nouvelles, en quête de justice. (p. 189)