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Critiques de Marc Arno (9)
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Espions et compagnie

au états unis une jeune femme glisse une lettre dans la boite. quelques jours plus tard on repêche son cadavre au fond d'une

rivière.

alors il va s,en suivre une cascade de liquidation aux quatre coins de l, Europe.

mais c'est a Niamey dans la chaleur du Niger que kristian fowey de la c.i.a devras

aller chercher les réponses.

une histoire efficace et haletante mais sans grande originalité.👍
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Bien mal agi...

Ray Barclay détective privé resoie un coup de fil. C'est Stéphane Loomis son fils vient d'être enlevé. Ray va accepter de porté la rançon,

Mais le ou les ravisseurs.vont t il rendre le gosse. Une bonne histoire pour se détendre sans prise de tête.il y a de l, action, du suspense est un héros sympa,☀️
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La mort pour dot

Je poursuis ma découverte des auteurs des collections « Spécial-Police » ou « Espionnage » des éditions Fleuve Noir avec, aujourd’hui, Marc Arno…



Marc Arno, de son vrai nom Jean-Pierre Bernier (1937-2008), fut journaliste et écrivit sous divers pseudonymes dont le pseudo collectif Gil Darcy. Il a également été un prête-plume de Josette Bruce, pour continuer la série « OSS 117 » développée par son mari Jean Bruce.



Il a écrit énormément de romans pour les deux collections susnommées.



Ma découverte s’est faite à travers le titre « La mort pour dot », publié en 1965 dans la collection « Spécial-Police » des éditions Fleuve Noir.

Ralph Barclay tient une agence de détectives avec son ami Pete Gibbs.



Un soir, il reçoit un coup de téléphone d’une femme affolée qui se dit s’appeler Helen Timmer et qui lui demande de venir immédiatement chez elle, car « il » est mort, avant de raccrocher.



Après s’être renseigné pour trouver l’adresse de sa correspondante, il se rend chez elle pour constater qu’un homme est bien mort d’un coup de revolver et qu’il s’agit du père d’Helen Timmer.



Que dire de ce court roman de Marc Arno qui se trouve être un de ses premiers ?



Pas grand-chose, en fait.



On constate immédiatement que l’auteur tente, par le style, l’intrigue, les lieux et noms de personnages, de faire du roman noir à l’américaine.



Un détective privé, une jeune femme, un meurtre, la police, un suspect, de la vengeance, des faux semblants, une rivalité, tous les ingrédients y sont.



Malheureusement, les ingrédients ne suffisent pas à faire une bonne recette, encore faut-il qu’ils soient bien dosés et que l’ensemble soit suffisamment épicé pour donner du goût.



Là, faute d’expérience, probablement, de volonté de trop singer le genre inspirateur, de trop de sagesse, l’ensemble est fade, à l’image d’une plume qui jamais ne compense une intrigue faiblarde et des personnages transparents.



Alors, comme un plat sans goût, cela se consomme sans lever le cœur, on finit notre assiette pour ne pas vexer le cuisinier, mais on ne sortira pas de table rassasié et encore moins satisfait du repas.



Et la question se posera de savoir s’il faut donner une autre chance à l’auteur… probablement, tout le monde a le droit à une seconde chance… mais probablement pas tout de suite, il y a tant d’écrivains à découvrir…



Au final, un roman policier à la mode américaine un peu trop sage, trop fade, trop faible pour donner une bonne lecture.
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Il y a 50 ans Dien Bien Phu

Cet ouvrage retrace la bataille de Dien Bien Phu que l’armée française a engagé pour assoir sa victoire sur le Vietminh mais sa défaite ouvrira les négociations pour la partition du Viet-Nam et son indépendance.

Le livre est intéressant mais souffre de deux gros défauts. Tout d’abord, la police choisi pour les textes est vraiment horrible. Un espace interligne énorme, une taille de police qui fluctue sans comprendre la logique, bref, le choix graphique des textes est étonnant. Les écrits sont tellement gros que cela en devient désagréable à lire.

Ensuite, les différentes parties de l’ouvrage ne sont pas clairement identifiés (un défaut renforcé par ce choix particulier de police). Il est donc difficile de suivre le déroulé des événements pour bien comprendre la situation des combats et des forces en présence.

Du coup, le livre est plutôt frustrant car sa taille permet d’aborder cette bataille en long et en large mais sa construction est tellement mal faite que l’on perd le fil du récit. On tout de même de nombreuses infos passionnantes mais pas à la hauteur d’un livre grand format et si imposant pour une bataille unique.

Il y a des éléments de satisfaction comme les nombreuses photos qui illustrent l’ouvrage et quelques cartes de situation très utiles pour comprendre un peu mieux cette bataille mais ces dernières restent trop peu nombreuses.

Dans l’ensemble, cet ouvrage est donc plutôt décevant mais à le mérite d’être un des rares ouvrages de parler de cette bataille assez peu explorée dans les livres documentaires.

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La gondole aux espions



Dans la lignée des romans policiers et/ou d'espionnage dit de gare paru à cette époque c'est-à-dire dans les années 60/70 dans lequel la lutte contre la mafia, les règlements de compte entre bandes rivales, sous couvert de la guerre froide, prédominent.



Dans le cas présent, Marc Arno (1937 - ?) propose une série de "coups fourrés" entre groupes de gauchistes rivaux utilisant surtout leurs poings que leurs neurones.



Ce n'est peut être pas de la grande littérature, l'intrigue - aux multiples rebondissements sans vraiment de liens entre eux - est peut être superficielle, c'est malgré tout facile et agréable à lire. Marc Arno est un auteur à découvrir si l'on ne le connaît pas. Du moins, à mon avis.



J'ai déjà lu quelques polars publiés par les éditions Fleuve noirs dans les années 60/70 et donc épuisés dans le commerce à ce jour, La gondole aux espions et celui que j'ai le moins appréciés.







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La Nuit des Couteaux

Clin d'oeil à l'histoire : ce livre parut en1970 propose une intrigue construite autour d'une conférence de rapprochement entre Cuba et les USA à la Jamaïque, conférence qui vient d'avoir lieu en avril 2015 mais à Panama !

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Une croix pour un espion

J'ai été plutôt surpris de ce petit roman d'espionnage, ne payant pas de mine !

J'ai bien accroché à l'histoire, j'ai trouvé que c'était bien écrit, raconté, on plonge directement dans le décors de Rio, avec trois meutres d'agents de la C.I.A. sur une piste.



J'ai bien aimé l'ambiance, seul le passage dans la "sauterie" dans la grosse villa, était peut-être de trop...

M'enfin, le livre est vraiment bien, seul bémol, la fin qui, à mon goût, est un peu expédié à la va-vite.
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La mort pour dot

Suite à un appel d'une jeune personne lui signalant la découverte d'un cadavre le détective Barclay file au domicile de celle - ci .

Sur les lieux , la jeune fille en pleurs lui désigne le cadavre de son père qui a priori s'est suicidé ...

Mais ce suicide en est - il vraiment un ?...



Voilà un roman qui ne restera pas longtemps dans ma mémoire . Le détective charmeur qui va un peu trop loin dans son en quête et se met la police à dos .

Une histoire sans beaucoup de reflet et super classique . Pas vraiment passionnant avec des situations banales .
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Indochine 1954 : Les derniers combats

Le GM 100 et le "bataillon de Corée".



Le "bataillon de Corée" était l'unité tactique que la France mit à la disposition de l'ONU sous commandement américain durant la guerre de Corée qui se déroula en parallèle de la guerre d'Indochine. De retour en Indochine, le bataillon fut intégré dans un groupement mobile, le GM 100. Les groupements mobiles étaient des unités de taille régimentaire rassemblant des moyens d'infanterie, de blindés, d'artillerie et de génie utilisés comme forces de combat pour contrer l'ordre de bataille divisionnaire du Vietminh.



Si l'année 1954 fut décisive par la défaite de Dien Bien Phu (mars à mai), les combats n'en furent pas moins intenses dans toutes l'Indochine. Parallèlement à l'établissement de la base aéro-terrestre de Dien Bien Phu, le général Navarre prépara une grande opération pour éradiquer la présence vietminh au centre Annam: l'opération Atlante.



Le Groupement Mobile 100 (GM100) y prit part avec le célèbre "bataillon de Corée". La chute de Dien Bien Phu précipita l'arrêt des opérations et le repli final vit la destruction du GM100.



Ce sont les opérations de 1954 du GM 100 que nous relate Jean-Pierre Bernier dans cet ouvrage classique.



Avec 12 cartes et un cahier photos en N/B.
Lien : http://www.bir-hacheim.com/i..
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