Dans l'immeuble où j'ai vécu plus de dix ans, je ne connaissais personne, même si nous échangions à l'occasion un vague salut entre voisins d'étages. Mais en bas, dans la rue, le parc et les bistrots, c'est autre chose: ça bouge, ça crie, ça rigole, ça se fréquente. (p.86)