Il devait faire un choix, mais aucune des options n’était acceptable à ses yeux. S’il disait la vérité, il serait à coup sûr placé en état d’arrestation et déféré au parquet. S’il mentait, en revanche, le procureur déciderait certainement de ne pas donner suite. En l’absence de preuves tangibles, démontrer qu’il s’agissait effectivement d’un viol s’avérerait difficile.