Marc Erges (il s’agit d’un pseudonyme) ne veut rien livrer de lui au public - à cette enfance près. Il s’en est sorti, comme on dit : il est aujourd’hui chirurgien.
Pardon, pardon, mille fois pardon pour tous ceux qui aiment leur mère, pardon à tous ceux qui ne comprendront jamais que l'on puisse écrire ainsi. (p.216)
Quand je songe que notre mère est parvenue à faire de moi cet athée que pas même n'apitoierait un Christ-enfant réfugié dans les bras d'une Vierge mourant sous ce vent...(p.217)
L'an dernier, dans cet orphelinat de...j'ai constaté que les autres enfants ont peur des loups, des ogres et des fantômes. Moi, la terreur de ma mère me fait négliger ces paisibles spectres. (p.30)
O la vie si heureuse d'un enfant abandonné! De balluchons en balluchons, elle vous protège de ce l'on ne peut imaginer de pire pour certains enfants: leurs hyènes parentales ! (p.196)
ERRATUM:La présentation du sujet des "Chapiteaux perdus" dans la base de BABELIO, est erroné. Il s'agit d'un autre texte qui n'a rien à voir avec le roman de Marc Erges