Ce n'est donc pas l'absence d'intérêt pour l'Afrique qui a arrêté la progression des divers colonisateurs du XVème au XIXème siècle, voire leurs choix commerciaux, mais bien la capacité de l'Afrique à se défendre. (...) La vérité est que, maîtres de la mer, les Portugais et autres Européens étaient vulnérables sur terre et surtout sur les rivières.