Proust se retire progressivement de la vie parisienne pour le refuge imaginaire de ses chambres successives. C’est désormais
dans son lit qu’il va travailler à l’œuvre de sa vie. L’écrivain se lève au soir venu et tente de s’endormir le matin vers 6 heures en prenant son gramme et demi de Trional.
« Il en arriverait à proposer l’insomnie comme un bienfait », écrit Edmond Jaloux