- Un jour viendra où des étudiants s’interrogeront sur vos choix, sur un parcours qui vous a conduite à la clandestinité et privée de la plupart des réjouissances qu’offre la vie. Qu’aimeriez-vous leur dire avant qu’ils vous jugent ?
- Que le sort des autres me préoccupait autant que le mien. Le sentiment que j’éprouvais m’a forcée à regarder le monde au-delà de ma seule condition, à ne pas me contenter de m’offusquer, de protester, de condamner, mais à agir.