Contrairement à un parfumeur, un œnologue ou un fleuriste qui emploient un lexique précis pour décrire les senteurs et les arômes, les médecins légistes sont confrontés à des émanations singulières, mais qui n’ont pas de nom. Elles sont définies comme caractéristiques, particulières ou encore pénétrantes. On en fait l’expérience, on les identifie. Mais on ne les nomme pas. Doc résumait ces fragrances : « C’est l’odeur de la mort. »