Il ne pouvait choisir le jour de son trépas. C’était sans compter les risques du métier. La possibilité d’une mort prématurée. Une balle dans le cœur… Un coup de couteau… et pourtant, ce jour viendrait. Le plus tard serait le mieux.
Et en attendant, vivre ! Vivre et aimer. Pour tenir la mort à distance. Aimer intensément.
(page 154)