Pour mieux faire sentir notre pensée, nous lui donnons volontiers une intensité que l'intonation corrige, il est vrai, dans une certaine mesure. Nous utilisons les tours superlatifs, des termes que nous savons trop forts, mais auxquels, avec une réserve mentale, nous n'attribuons qu'une faible partie de leur contenu (Je suis désolé, navré, de ce contretemps).
Chapitre II : LE MOT, LE SYMBOLE D'UNE NOTION, Emploi conscient et affectif de l'impropriété.