La langue chinoise se souciant aussi peu de la richesse phonétique que des enrichissements procurés par l’usage des dérivations, l’écriture a servi à accroître le vocabulaire. Dès qu’on eut admis l’idée que les signes avaient été formés par voie de combinaison, dès qu’on eut appris à les décomposer en éléments pourvus d’une signification, les ressources pour créer des caractères devinrent illimitées.