Erasme de Rotterdam arrivait, lui aussi, à Bologne où il restera un an, très bien vu par le pape. Si Michel-Ange avait été passionné par les discussions humanistes, il est probable qu’il se serait rapproché d’une si universelle réputation. Or, aucun texte ne mentionne la rencontre de ces deux hommes que tout aurait dû rapprocher (cf. les relations futures d’Erasme avec Dürer), si nous en croyons les thèses « humanisantes ».