Le fils, pour sa part, attaquera plus volontiers chez son père les défauts qui sont les siens, ce qui est plus confortable que de s'attaquer soi-même. Dans cette période de doute et de vulnérabilité qu'est l’adolescence, l'autocritique est trop complexe et trop risquées ; il vaut mieux douter de l'autre qui nous a élevés et qui ne nous a pas faits tels que nous rêvions d'être.