[Milena] défend l'idée que les êtres "corrects", sans défauts, ne sont souvent, en rien, les plus sympathiques, mais au contraires fréquemment dangereux et mauvais; tandis que ceux qui ont ce qu'il est convenu d'appeler des défauts leur sont souvent bien supérieurs en tolérance et en bonté. (p.84)