Mais ses lèvres n’ont jamais souri ; un chapelet d’ossements s’enroule autour de son cou mince, et, dans sa figure plus claire que le reste de son corps, ses vastes yeux sont purs et tristes. Le visage de Kali, éternellement mouillé de larmes, est pâle et couvert de rosée comme la face inquiète du matin.