En fait, il avait honte de sa mère. J’avais bien vu à son regard au cour du dîner de noces, qu’il était gêné et inquiet de ce que nous pourrions penser d’elle, de ses bavardages, de sa vanité. […] Et j’étais bien placée pour savoir que les hommes qui n’ont pas vaincu leur mère se vengent sur leurs femmes, leurs épouses et leurs filles.