"Mademoiselle, nous sommes suivis par un maniaque. Le gars devant votre vitrine."
"Il a une sale tête", approuva la demoiselle déjà acquise à la cause d'Eloi.
"Et je me demande s'il n'est pas armé. Il a toujours les mains dans les poches, vous voyez ?"
"Oh la la, mais il faudrait peut être alerter la police ?"
Eloi regarda la jeune fille, comme sidéré par la proposition.
"Mais comment n'y ai-je pas pensé plus tôt ? Le 17, c'est ça ? Il vaudrait mieux que vous appeliez mademoiselle. Une femme harcelée par un homme, ça mobilisera plus vite la troupe..."