Les réceptions lui permettaient de briller au sein d’une petite société bourgeoise, sous l’œil admiratif de son époux. Mais, au fil du temps, elle s’était lassée de voir toujours les mêmes visages et de rire des mêmes plaisanteries. Oui, l’ennui était venu, pesant, source de folles rêveries, son unique consolation, car elle avait souvent l’impression de ne pas être à sa place, de gâcher ses plus belles années.