Le destin est injuste. Des êtres innocents qui n’ont pas fait le moindre mal trépassent, d’autres, mauvais et violents, demeurent. Si seulement une maladie emportait Annie, et même ton mari, nous serions libres, riches et heureux. Tu quitterais la région, moi ma soutane et, après un an de deuil, je t’épouserais.