Les mots pouvaient être des blessures ou des cicatrices de blessure, ils pouvaient ressembler à une dent gâtée dans un sourire de plaisir.
Les mots pouvaient aussi être des géants, des rocs profondément enfoncés dans la terre, solides, et grâce auxquels on franchit des rapides.
Les mots pouvaient enfin être des monstres, les S.S. de l’inconscient, refoulant la pensée des vivants dans les prisons de l’oubli.