La vieillesse est ce mur qui, inexorablement, monte de plus en plus haut, mur contre lequel je décide de prendre mon élan pour me lancer chaque matin dans la vie. Et chaque matin, je me déplie en me concentrant non pas sur ce qui n'est plus, mais sur ce qui va bien et qui va m'offrir du cent pour cent dans les douze ou quinze heures qui viennent.