Théoriquement, pour faire tourner le cercle, le corps est assis sur une chaise, et porte, attachés à sa ceinture, deux petits sacs, un de chaque côté, pareils à ceux où le dieu Eole tenait enfermés les vents. Dans un des petits sacs, la vie, dans l'autre les livres, et le corps qui puise tantôt dans l'un, tantôt dans l'autre.
En vérité, dans les deux sacs il trouve la même chose, la vie oeuvrée par les livres.