Cristina Campo (1923-1977) par Cécile Guilbert
Une fête du cœur qui étreint tout autant la littérature que la peinture, l'architecture que l'art des tapis, mais aussi la liturgie qui "comme la poésie est splendeur gratuite, gaspillage délicat, plus nécessaire que l'utile"- quoique chez Campo tout soit liturgique car tout -sanctifié- (p. 244)