Tout jeune médecin envoyé sur le front russe, il mourut dans l'explosion d'une mine. Eugène Ionesco répétait souvent avec tristesse : "Personne ne saura jamais qu'il y a eu un Petre Bubu." Parmi les amis morts jeunes il y eut aussi l'écrivain Anton Holban, le peintre Bob Bulgaru qui fit plusieurs portraits de Rodica Burileanu puis de Ionesco.