L'ânon n'a pas besoin des mains du père pour naître, ni la rose de la science du jardinier pour éclore. La grâce d'un marcassin galopant vers la bauge, un essaim de lucioles et toutes ces plantes aromatiques qui embaument l'air forestier. (...) L'homme débarque dans ce décor dont il n'est pas digne pour en faire le théâtre de son étourderie.