Personnellement, je me méfie plutôt des victimes qui deviennent spécialistes de leur bourreau ; je pense que ça nuit à l'objectivité indispensable d'une enquête. C'est exactement ce dont on parlait avec Maxime ce matin : les logiciels, eux, n'ont pas d'affect. Ce qui peut être un inconvénient, mais aussi un avantage. Si le fait d'être concerné par un crime, directement ou indirectement, peut donner la niaque à un enquêteur, ça peut aussi complètement brouiller ses capteurs, et l'empêcher d'avoir une vision claire et impartiale du dossier.