Il faut se demander : quel degré de mal puis-je me permettre de voir sans perdre mon appétit de vivre? Si le destin pousse quelqu'un à se pencher particulièrement sur la souffrance et le mal, il doit le faire, mais ne chargez pas votre barque d'un poids qui ne vous ai pas demandé, ce qui est imprudent, surtout si vous céder à une curiosité morbide.