Greif et Sultan étaient selon lui plus vifs encore que Nero. Mais ils ne mordaient que sur ordre, tandis que Nero passait systématiquement à l'attaque si on ne l'en empêchait pas de façon explicite. Avec de tels compagnons, l'arme à feu devenait superflue. Au cours de ses trente années de service, Moldt n'eut pas à dégainer une seule fois.