[…] A toutes les époques, qu’elles soient fascistes ou communistes, l’individu suit volontiers ceux qui le prennent en charge. Qu’un ami de la sagesse et de la justice le rende maître de son destin, le voici inquiet et jugeant suspect celui qui veut lui faire don de la liberté. (Nicolas BERDIAV (Berdiaeff sur Babelio) ou la révolution de l’esprit, p.35)