"Son amour pour sa mère lui était une nourriture âcre, impossible à avaler. Cette nourriture se dissolvait dans sa bouche en particules d'amertume puis se reconstituait et cela durait et c'était sans fin, la boule de pain mauvais qui passait d'une joue à l'autre, puis les bribes molles, fétides, qui faisaient de sa bouche un puits de honte". p. 72