Que dire de cette histoire que sans exagérer qui a laissé de très lourdes séquelles a la progéniture et que actuellement je revis cette violence et que l'auteur lui même qui est maman de mon conjoint qui est déséquilibré aujourd’hui cautionne cette violence et arriver a dire que "je méritais, les coups de son fils car il est coléreux " alors qu'elle avait connu jadis tout comme moi aujourd’hui des violences verbales, physiques et psychologiques par une sorte de personne qu'on appelle pervers narcissique....
Aussi puis-je m'étonner que bien des mères divorcées, à peine sorties de ce drame, aient choisi de se remarier avec un Algérien. C'est peut-être une réflexion choquante, psychologiquement incapable, de refaire ce chemin vers une culture qui avait à ce point nié la mienne et fait si peu de cas, chez des enfants dont un l'aura payé de sa vie, de la dignité de la personne humaine.
Le silence me condamne comme un aveu: qui ne dit mot consent.Le silence est ma punition.
Je découvre assez vite qu'il est difficile de réclamer justice
Ce n'était pas un travailleur immigré, c'était une sorte d'aventurier sans scrupules, d'opportuniste à tous crins.
Autant inviter le diable á confesser