Je dis que je vais bien, mais j'ai perdu ma mère. Je l'ai perdue et c'est moi qui me sens égarée, et je retiens mes larmes et je vais les enfouir, les terrer dans un lieu inconnu de moi-même. Ces larmes amassées en larmes souterraines, océan de chagrins peu à peu collectés. P.133 et 134