Je ne serai jamais basketteuse de haut niveau. Pas parce que je n'ai pas assez travaillé, ni parce que je n'ai pas le talent ou les compétences nécessaires et surtout pas parce que j'ai peur.
Mais parce que je ne peux pas faire ça à Maman, à Anaïs, à ma famille. J'ai mis longtemps à le comprendre, mais maintenant je sais : mon équipe, la vraie, c'est elles.
J'espère que tu comprendras. C'était un sacré match, complètement inéquitable : moi contre l'univers, je me suis battue jusqu'au bout.
J'ai perdu, ça arrive aux meilleurs.