L'univers de Louis s'est rétréci, certes. Son corps est presque en voie de disparition. Sa pensée régresse. Mais il reste le cœur et l'âme, tous deux intacts. Ne dirait-on pas qu'à la fin de la vie s'opère une distribution différente de l'énergie vitale ? S'il y a une perte sur les plans physique et intellectuel, n'observe-t-on pas un gain sur les plans affectif et spirituel ? (pages 204-205).