N’allez pas croire que j’ai une dent contre les retraités, hein ! Je sais ce que l’industrie du camping-car leur doit . Je n’ai d’ailleurs que mépris pour les populistes qui leur reproches de ne rien foutre toute la journée, de vivre aux crochets des travailleurs et de bénéficier de réductions au cinéma et des minima sociaux. (P.149)