p.160 Fatimah, ma femme, pardonne-moi de n'avoir rien vu, rien compris. Je n'ai pas imaginé une seconde tes souffrances. Je ne peux effacer ce passé mais je peux te proposer un avenir. Si tu le veux, quand tu seras guérie, nous referons notre vie ailleurs, avec nos enfants. Nous quitterons ce village maudit. Pour vivre ici, en ville.